ROCCA El Original

Alpha Wann

J’ai collaboré avec lui quand il était encore dans l’Entourage, ça s’est très très bien passé, il fait partie de l’école de ce qu’on a laissé aussi, et donc c’est la continuité de tout ça, donc c’est normal, ça se tutoie très rapidement.

Benjamin Epps

@jef_leo

Je l’ai découvert avant qu’il explose. On a fait le featuring avec Benjamin avant que ça soit le Benjamin Epps d’aujourd’hui, et depuis la première rencontre jusqu’à aujourd’hui, il n’a fait qu’évoluer en bien. C’est un artiste très prometteur.

Youssoupha

On a toujours voulu collaborer ensemble depuis l’époque de La Cliqua, à chaque fois où on se croisait, on n’avait jamais eu l’occasion de travailler sur un morceau et sur l’album « Cimarron » il se trouvait que j’avais un son qui était plus afro, même si c’est des rythmes de Wawanko, des rythmes traditionnels afro-cubains. Il fallait un artiste qui soit plus éclectique dans la musique, qui puisse avoir une palette très large et qui soit visionnaire aussi dans la musique, et quand j’ai écouté ses derniers projets, qui étaient plus dans des rythmes afro, je me suis dit “c’est ce gars-là qu’il faut”.

Tedax Max

Je suis très content d’abord que ce soit un gars de Lyon, parce que Duke était de Lyon. On m’en a parlé, on m’a dit, écoute Tedax Max, il défonce, il rappe vraiment bien. J’ai écouté, j’ai fait “ah, j’aime bien, il a la street, il a la crédibilité, il a le flow et il a la plume.” C’est parfait pour l’album et j’espère qu’il aura une longue carrière aussi.

Kyo Itachi

C’est un pote à moi qui m’a invité sur son album, qui s’appelle Trafyk. Big dédicace à Trafyk, qui m’a donc fait poser sur son album et c’était une prod de Kyo Itachi, avec qui j’ai commencé à parler, et qui a commencé à m’envoyer des sons, qu’on a posés sur l’album de Tres CoronasNueva Era”. C’est là qu’on est devenus des très bons potes. Et on a un très gros projet qui arrive.

Hachim Bahous

Je le connais depuis très longtemps. C’est le détenteur des logos par excellence. C’est un artiste, vraiment, c’est pas simplement un graphiste. C’est un artiste et il a une palette tellement large de différents univers qu’il peut s’adapter absolument à tout sans jamais perdre son éthique et son aisance. Je suis très fier qu’il ait fait le logo de Tres Coronas, il a travaillé sur mes logos à moi et jusqu’à aujourd’hui il travaille sur notre marque de Criollo Latinos por el mundo. On s’entend trop bien, on n’a pas besoin de s’échanger beaucoup de mots pour se comprendre, on se saisit très vite. Il est de la même génération, de la génération Metal Hurlant.

Souffrance

C’est Duke qui m’en a parlé la première fois, il me fait “écoute ce mec, il déchire”. Je venais de poser mon couplet, c’était encore une maquette, et il me dit “je crois que j’ai le deuxième gars, il faut qu’il se place dessus, il s’appelle Souffrance, il fait partie d’un groupe qui s’appelle L’Uzine, ils sont vraiment dans le boom bap moderne d’aujourd’hui, ils défoncent, il a une super plume”. Donc j’écoute. Duke m’envoie les trucs et je dis “ vas-y, le gars a vraiment un univers dans sa plume. On lui envoie l’enregistrement et Duke me l’envoie comme ça du jour au lendemain, il me fait “écoute ce qu’il a fait le gars” et j’écoute : “oh c’est le retour de Nineteen frère, on revient à la mode comme le Heil Hitler” Oulalalala ! Jusqu’à aujourd’hui, même Souffrance me dit qu’il rappe ce morceau dans tous ses concerts, c’est-à-dire que c’est vraiment une participation, un feeling extraordinaire. Et la vision aussi de Duke qui a toujours eu 5 trains d’avance sur tout le monde et à chaque fois il sait combiner les MC et les talents.

Big Red

Il m’a beaucoup enseigné, j’ai appris beaucoup de choses avec lui, on apprend toujours avec les anciens, toujours. J’ai appris sur le business, les tournées, les concerts, énormément de choses. C’est vraiment une très bonne expérience et j’en garde toujours un très bon souvenir, dans tout ce que je fais.

Daddy Lord C

Pareil, c’était un de mes mentors, j’étais plus petit que lui, et il m’a pris sous son aile dès le début. Il a repéré en moi un talent, une étincelle qu’il a aimée et on a su l’adapter très vite, avant même La Cliqua on rappait des morceaux ensemble. J’ai du Daddy Lord C en moi aussi, sans le vouloir, ça s’est imprégné. C’est comme ça, c’est mon reuf, même si on ne s’appelle pas tous les jours, on n’est pas tout le temps à l’affût de ce qu’on fait, mais dès qu’on se voit, c’est comme si le temps n’avait pas changé. C’est une pause…et le temps revient.

DJ Duke

Duke, il me manque ce salaud. Mais j’ai son esprit et les esprits des morts sont toujours avec nous. Ils sont toujours là, les morts

Scolti @scolti_g


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